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La (difficile) quête du graal solaire
Comme tous les étés, les plus ensoleillés ou les moins, aussi, j’achète de la crème solaire. En fait non, c’est pire : j’en achète dès le retour des beaux jours.
C’est à dire, par exemple cette année, c’était environ vers le mois d’avril, fin avril. En juin, il a fait super beau, juillet aussi mais moins j’ai trouvé, et là bon on va dire que c’est un peu la cata (pluie + orages + ciel gris + nuages + quelques rayons par ci par là).
Merci Clara pour ce gentil récapitulatif météorologique (mais avec plaisir !). Tout ça pour dire que, la crème solaire, j’en consomme, moi la fille à la peau pâle (tu connais visage pâle? beh tout pareil). Peau pâle qui, soit dit en passant, attrape le moindre coup de soleil qui passe par là, et hop ! Moi en plus de me faire bouffer par toutes les bestioles du coin, je me tape tous les coups de soleil possible. C’est pourquoi, je me protège.